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Les hommes seuls

Dehors专辑

  • 作词 : Mano Solo
    作曲 : Jean Lamoot/Jean-Louis Solans/Arnaud Devos
    Devant le resto des hommes qui mangent seuls
    Y'a deux trottoirs l'un à l'ombre et l'autre au soleil
    Y'a le choix ou y'a pas
    J'habite sur la frontière comme le fil d'un rasoir
    J'y aiguise mon envie de changer de côté
    Mais j'ai pas encore choisi lequel était bon pour moi
    Peut-être ni l'un ni l'autre, je suis les pointillés
    A un moment c'est sûr que je vais basculer
    J'ai peur de choisir, peur de pas en revenir
    Je vois de chaque côté des processions des enterrements
    Trois trompettes derrière et personnes pour pleurer
    Faut garder ses larmes pour soi en cas de besoin
    Quand la vie réclamera son tribut
    Pour une vieille histoire de pomme et de serpents
    Sur le fil j'écarte les bras je ne bouge pas
    Je reste là, je suis pas prêt de m'envoler
    Il n'y a ni bien ni mal
    Je me suis jamais senti si bien
    Je me suis jamais senti si mal
    J'en sais rien
    Je m'en fout
    Je goûte ma soupe à la grimace au resto des hommes qui mangent seuls
    Qui n'a jamais connu le rire des femmes
    Le rouge au bord d'un verre ou la delicate musique d'un cristal qui s'entrechoque
    Et je regarde mon assiette et le serveur enlève l'autre
    Pour qu'on soit sûr que je n'attends personne
    Dans la rue les gens vont par deux
    Et moi je valse et tangue avec ma gueule dans la vitrine
    Dans le resto des hommes qui mangent seuls
  • 作词 : Mano Solo
    作曲 : Jean Lamoot/Jean-Louis Solans/Arnaud Devos
    Devant le resto des hommes qui mangent seuls
    Y'a deux trottoirs l'un à l'ombre et l'autre au soleil
    Y'a le choix ou y'a pas
    J'habite sur la frontière comme le fil d'un rasoir
    J'y aiguise mon envie de changer de côté
    Mais j'ai pas encore choisi lequel était bon pour moi
    Peut-être ni l'un ni l'autre, je suis les pointillés
    A un moment c'est sûr que je vais basculer
    J'ai peur de choisir, peur de pas en revenir
    Je vois de chaque côté des processions des enterrements
    Trois trompettes derrière et personnes pour pleurer
    Faut garder ses larmes pour soi en cas de besoin
    Quand la vie réclamera son tribut
    Pour une vieille histoire de pomme et de serpents
    Sur le fil j'écarte les bras je ne bouge pas
    Je reste là, je suis pas prêt de m'envoler
    Il n'y a ni bien ni mal
    Je me suis jamais senti si bien
    Je me suis jamais senti si mal
    J'en sais rien
    Je m'en fout
    Je goûte ma soupe à la grimace au resto des hommes qui mangent seuls
    Qui n'a jamais connu le rire des femmes
    Le rouge au bord d'un verre ou la delicate musique d'un cristal qui s'entrechoque
    Et je regarde mon assiette et le serveur enlève l'autre
    Pour qu'on soit sûr que je n'attends personne
    Dans la rue les gens vont par deux
    Et moi je valse et tangue avec ma gueule dans la vitrine
    Dans le resto des hommes qui mangent seuls