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Le périph

Dehors专辑

  • 作词 : Mano Solo
    作曲 : Jean-Louis Solans
    Je roule tout droit sur le péiph depuis des heures
    J'ai mis plein phares pour qu'en face ils voient pas que je pleure
    Sur le pare-brise la crasse vient à bout de mes essuie-glaces
    Portes et fenêtres condamnées accélérateur bloqué
    Je regarde ma vie défiler
    Mille lumières autant d'enfers
    Qui se croisent et se toisent qui s'entrecoisent
    Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
    Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
    Mais il n'est pas de marche arrière
    Encore moins de sur le boulevard circulaire
    Tête à queue sans queue ni tête
    Où les radars immortalisent mon cafard
    La grande spirale du râle m'engloutit
    Je navigue aveugle sous la pluie
    Ondulant les vagues filantes encornées de brumes déchirées d'étoiles filantes
    Entre les gros tonnages qui font barrage
    Les marées noires qui croient m'avoir
    Je joue des coudes et roule à plein pot
    C'est pas ce soir qu'ils auront ma peau
    Je roule tout droit sur le periph depuis des heures
    Deux cent à l'heure je me sens bien
    Je n'ai pas peur je roule vers mon destin
    Les gyrophares nécrophages arriveront toujours trop tard pour ramasser mes dérapages
    Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
    Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
  • 作词 : Mano Solo
    作曲 : Jean-Louis Solans
    Je roule tout droit sur le péiph depuis des heures
    J'ai mis plein phares pour qu'en face ils voient pas que je pleure
    Sur le pare-brise la crasse vient à bout de mes essuie-glaces
    Portes et fenêtres condamnées accélérateur bloqué
    Je regarde ma vie défiler
    Mille lumières autant d'enfers
    Qui se croisent et se toisent qui s'entrecoisent
    Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
    Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera
    Mais il n'est pas de marche arrière
    Encore moins de sur le boulevard circulaire
    Tête à queue sans queue ni tête
    Où les radars immortalisent mon cafard
    La grande spirale du râle m'engloutit
    Je navigue aveugle sous la pluie
    Ondulant les vagues filantes encornées de brumes déchirées d'étoiles filantes
    Entre les gros tonnages qui font barrage
    Les marées noires qui croient m'avoir
    Je joue des coudes et roule à plein pot
    C'est pas ce soir qu'ils auront ma peau
    Je roule tout droit sur le periph depuis des heures
    Deux cent à l'heure je me sens bien
    Je n'ai pas peur je roule vers mon destin
    Les gyrophares nécrophages arriveront toujours trop tard pour ramasser mes dérapages
    Et je vois un mur au loin qui recule à mesure
    Et je sais qu'un jour viendra où le mur s'arrêtera