作词 : Jacques Larue 作曲 : Philippe Gerard/Jacques Larue Plus jamais ne prierai, Plus jamais ne rirai Avec leurs boniments. Ils ont tué mon amant. Le bourdon peut sonner, Le curé, marmonner. C'est pas ça qui le fera Revenir dans mes bras. D'un petit air réfléchi Et la voix décidée, Il a dit : "Allons-y !Faut défendre ses idées !" Mais, malgré sa grande gueule Et ses yeux qu'il planquait, Je n'étais pas toute seule A chiâler sur le quai... Miséricorde ! Miséricorde ! Les petites croix blanches Ont des dimanches Qui ne sont pas gais. Le ciel bleu d'un petit bal Du côté de BougivalDans mes yeux étonnés Continue de tourner... Rien qu'à voir les péniches, On rêvait de voyager. Pour ceux qui ne sont pas riches, Il suffit de rêver : Le jardin qu'on aurait Serait plein de lilas... Et le gosse qu'on aurait S'appellerait Jean-François... Les beaux rêves sont gratuits. Moi, le seul qui me reste, C'est l'odeur de sa veste Quand je dansais contre lui.'y a plus que ça qui me rapproche De celui que j'adorais Mais la vie est si moche Que même ça, je l'oublierai... Miséricorde ! Miséricorde ! Miséricorde !
作词 : Jacques Larue 作曲 : Philippe Gerard/Jacques Larue Plus jamais ne prierai, Plus jamais ne rirai Avec leurs boniments. Ils ont tué mon amant. Le bourdon peut sonner, Le curé, marmonner. C'est pas ça qui le fera Revenir dans mes bras. D'un petit air réfléchi Et la voix décidée, Il a dit : "Allons-y !Faut défendre ses idées !" Mais, malgré sa grande gueule Et ses yeux qu'il planquait, Je n'étais pas toute seule A chiâler sur le quai... Miséricorde ! Miséricorde ! Les petites croix blanches Ont des dimanches Qui ne sont pas gais. Le ciel bleu d'un petit bal Du côté de BougivalDans mes yeux étonnés Continue de tourner... Rien qu'à voir les péniches, On rêvait de voyager. Pour ceux qui ne sont pas riches, Il suffit de rêver : Le jardin qu'on aurait Serait plein de lilas... Et le gosse qu'on aurait S'appellerait Jean-François... Les beaux rêves sont gratuits. Moi, le seul qui me reste, C'est l'odeur de sa veste Quand je dansais contre lui.'y a plus que ça qui me rapproche De celui que j'adorais Mais la vie est si moche Que même ça, je l'oublierai... Miséricorde ! Miséricorde ! Miséricorde !