Je lance un caillou dans le lac qui coule Des ronds se forment dans le miroir des foules Amplifiant la rumeur qui court L’homme a besoin de secours Attention à la secousse des corps Les amours platoniques avant le creux des hanches Pour la beauté du geste, pour la beauté, du reste Anonyme conquête, admirable défaite Shakespeare l’avait écrit pour sa Juliette Le chêne et le roseau vont à Lafontaine Comme l’enfer c’est les autres quand Sartre a de la peine On prend sans je t’aime, on s’aime sans comprendre C’est la rencontre des Temps Modernes It’s not the same A l’évidence il faut se rendre C’est la rencontre des Temps Modernes Tu prends sans je t’aime et je t’aime sans m’^rendre A l’évidence il faut se rendre It’s not the same
Attention à la secousse des corps Attention au moindre de nos efforts Qui s’aime au printemps fait monter la sève Qui s’aime dans la fièvre sème aussi ses rêves Sans cesse on se prend, sans cesse on se ment Sans cesse, its’not the same Et les torts, même s’ils sont partagés N’en sont pas moins des torchons qui brûlent Et nos vies se passent comme dans un film à mouchoirs Où même choir n’entraine plus la peur Moteur action, projecteurs, Les bières qui moussent sous les ventilateurs It’s not the same C’est la rencontre des Temps Modernes, des temps modernes
Attention à la secousse des corps Attention au moindre de nos efforts Qui s’aime au printemps fait monter la sève Qui s’aime dans la fièvre sème aussi ses rêves Ses rêves, ses rêves, ses rêves Y-a-t-il un seul murmure dans les travées Y-a-t-il un seul murmure dans les travées Je guette encore le passage du doute Je guette les phrases brisées Y-a-t-il encore un murmure dans les travées Y-a-t-il encore un murmure
Attention à la secousse des corps Je lance un caillou dans le lac qui coule Des ronds se forment dans le miroir des foules Amplifiant la rumeur qui cour L’homme a besoin de secours, Ad lib
Je lance un caillou dans le lac qui coule Des ronds se forment dans le miroir des foules Amplifiant la rumeur qui court L’homme a besoin de secours Attention à la secousse des corps Les amours platoniques avant le creux des hanches Pour la beauté du geste, pour la beauté, du reste Anonyme conquête, admirable défaite Shakespeare l’avait écrit pour sa Juliette Le chêne et le roseau vont à Lafontaine Comme l’enfer c’est les autres quand Sartre a de la peine On prend sans je t’aime, on s’aime sans comprendre C’est la rencontre des Temps Modernes It’s not the same A l’évidence il faut se rendre C’est la rencontre des Temps Modernes Tu prends sans je t’aime et je t’aime sans m’^rendre A l’évidence il faut se rendre It’s not the same
Attention à la secousse des corps Attention au moindre de nos efforts Qui s’aime au printemps fait monter la sève Qui s’aime dans la fièvre sème aussi ses rêves Sans cesse on se prend, sans cesse on se ment Sans cesse, its’not the same Et les torts, même s’ils sont partagés N’en sont pas moins des torchons qui brûlent Et nos vies se passent comme dans un film à mouchoirs Où même choir n’entraine plus la peur Moteur action, projecteurs, Les bières qui moussent sous les ventilateurs It’s not the same C’est la rencontre des Temps Modernes, des temps modernes
Attention à la secousse des corps Attention au moindre de nos efforts Qui s’aime au printemps fait monter la sève Qui s’aime dans la fièvre sème aussi ses rêves Ses rêves, ses rêves, ses rêves Y-a-t-il un seul murmure dans les travées Y-a-t-il un seul murmure dans les travées Je guette encore le passage du doute Je guette les phrases brisées Y-a-t-il encore un murmure dans les travées Y-a-t-il encore un murmure
Attention à la secousse des corps Je lance un caillou dans le lac qui coule Des ronds se forment dans le miroir des foules Amplifiant la rumeur qui cour L’homme a besoin de secours, Ad lib