Comme un jetlag, tout devient étrangement vague Comme un jetlag après l’aéroport, les bateaux dans les ports s’évaporent Et la mer se retire en repliant ses vagues, c’est là que tout devient étrangement vague, Comme un jettlag après l’aéroport T’est-il déjà venu à l’idée d’entrer dans le désordre de tes idées, La tour de Babel ce n’est rien à côté … Et moi je me demande quel est le courant que l’on dépense D’où vient cette lumière qui me traverse comme une fulgurance
Le fond du problème, je peux l’évoquer, nous voulons tous l’immortalité Et Faust de le constater, nous ne chanterons qu’un seul été A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère Alors j’attends que là-haut quelqu’un me repère, pour que je forme une autre paire Dans une espèce de huis-clos à la Dolto Je me dis que Non l’enfer ce n’est pas les autres Certes, Sartre disait le contraire mais il avait Beauvoir et il ne voyait qu’elle C’était pourrait dire, comme sa sentinelle Certes, J’ai des hauts et des bas, mais quand on aime, on ne tombe pas Et que cela ne reste pas lettres mortes, c’est l’être humain et je n’en démords point Comme Adam a son Eve, tout homme a son rêve Je sais, la randonnée risque d’être mortelle, Je sais c’est cruel mais s’il a cru en Dieu ,’homme peut se croire éternel A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère Alors j’attends que quelqu’un là-haut me repère, pour que je forme une autre paire
L’enfer c’est la face cachée du paradis, difficile de mourir La question c’est l’après ? et qu’en dire ? Se voiler la face n’efface pas les traces du doute Alors vendre son âme au diable ou la mettre sous les clous pour la mise en bière La mise en doute ne date pas d’hier Faust n’est pas à ranger dans les méchants, je veux juste essayer de rester sur le banc Pour laisser venir à moi les petits penchants pendant qu’il est encore temps La vie m’échappe mais la vie m’est chère Rien n‘est plus clair, quels que soient les parades, les artifices, les traversées du désert La vie m’échappe mais la vie m’est chère Alors j’attends que là-haut quelqu’une me repère pour que je forme une autre paire Pour que je forme une autre forme, Sans norme, ce serait énorme Comme une farce faite à l’homme, ce serait énorme
C’est là que tout devient étrangement vague, comme un jetlag, tout devient vague, A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère L’enfer ce n’est pas les autres, non, l’enfer ce n’est pas les autres C’est la face cachée du paradis, mais c’est si difficile de mourir
C’et là que tout devient étrangement vague, comme un jetlag Je sais, la randonnée risque d’être mortelle, Je sais c’est cruel, mais s’il a cru en Dieu, l’homme peut se croire éternel
Comme un jetlag, tout devient étrangement vague Comme un jetlag après l’aéroport, les bateaux dans les ports s’évaporent Et la mer se retire en repliant ses vagues, c’est là que tout devient étrangement vague, Comme un jettlag après l’aéroport T’est-il déjà venu à l’idée d’entrer dans le désordre de tes idées, La tour de Babel ce n’est rien à côté … Et moi je me demande quel est le courant que l’on dépense D’où vient cette lumière qui me traverse comme une fulgurance
Le fond du problème, je peux l’évoquer, nous voulons tous l’immortalité Et Faust de le constater, nous ne chanterons qu’un seul été A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère Alors j’attends que là-haut quelqu’un me repère, pour que je forme une autre paire Dans une espèce de huis-clos à la Dolto Je me dis que Non l’enfer ce n’est pas les autres Certes, Sartre disait le contraire mais il avait Beauvoir et il ne voyait qu’elle C’était pourrait dire, comme sa sentinelle Certes, J’ai des hauts et des bas, mais quand on aime, on ne tombe pas Et que cela ne reste pas lettres mortes, c’est l’être humain et je n’en démords point Comme Adam a son Eve, tout homme a son rêve Je sais, la randonnée risque d’être mortelle, Je sais c’est cruel mais s’il a cru en Dieu ,’homme peut se croire éternel A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère Alors j’attends que quelqu’un là-haut me repère, pour que je forme une autre paire
L’enfer c’est la face cachée du paradis, difficile de mourir La question c’est l’après ? et qu’en dire ? Se voiler la face n’efface pas les traces du doute Alors vendre son âme au diable ou la mettre sous les clous pour la mise en bière La mise en doute ne date pas d’hier Faust n’est pas à ranger dans les méchants, je veux juste essayer de rester sur le banc Pour laisser venir à moi les petits penchants pendant qu’il est encore temps La vie m’échappe mais la vie m’est chère Rien n‘est plus clair, quels que soient les parades, les artifices, les traversées du désert La vie m’échappe mais la vie m’est chère Alors j’attends que là-haut quelqu’une me repère pour que je forme une autre paire Pour que je forme une autre forme, Sans norme, ce serait énorme Comme une farce faite à l’homme, ce serait énorme
C’est là que tout devient étrangement vague, comme un jetlag, tout devient vague, A la salle des ventes montent les enchères, la vie m’échappe mais la vie m’est chère L’enfer ce n’est pas les autres, non, l’enfer ce n’est pas les autres C’est la face cachée du paradis, mais c’est si difficile de mourir
C’et là que tout devient étrangement vague, comme un jetlag Je sais, la randonnée risque d’être mortelle, Je sais c’est cruel, mais s’il a cru en Dieu, l’homme peut se croire éternel