作曲 : Milani, Parker, Ruiz Si j'ai du caractère Un sacré tempérament Qui ont valu à ma mère Du souci et des tourments C'est que j'ai dans les artères Le tanin et les pigments Qui font le sang de la terre Comme la lave d'un volcan Je suis la fille du vent Qui traverse les montagnes Je tourmente les passants En faisant voler les pagnes Je défie tous les courants Toutes les stars de cocagne Qui passent en rêvant De platine et de champagne Si j'ai du caractère Un sacré tempérament Qui ont valu à ma mère Du souci et des tourments C'est que je tiens de mon père La passion et l'engouement Qui font guincher les chaumières Et s'enlacer les amants Je suis la fille du vent Qui traverse les montagnes Pour violenter les passants Les villes et les campagnes Je me méfie des couvents Et des dieux portant le pagne Car je porte en mon sang Toutes les plaies de l'Espagne Si je suis entière Et que je vais de l'avant Sans écouter de mon père Les avertissements C'est que' comme ma mère J'ai reçu en naissant La lueur de l'éclair La force du vent Moi qui suis sa fille Je porte la folie Des belles de Castille Ou bien d'Andalousie Je tiens de ma famille Ce qu'aujourd'hui je suis Je pointe mes banderilles Face aux dangers de la vie Car j'ai du tempérament Ce foutu caractère Qui font dire à mon père Que je suis son cheveu blanc Que je suis son cheveu blanc
作曲 : Milani, Parker, Ruiz Si j'ai du caractère Un sacré tempérament Qui ont valu à ma mère Du souci et des tourments C'est que j'ai dans les artères Le tanin et les pigments Qui font le sang de la terre Comme la lave d'un volcan Je suis la fille du vent Qui traverse les montagnes Je tourmente les passants En faisant voler les pagnes Je défie tous les courants Toutes les stars de cocagne Qui passent en rêvant De platine et de champagne Si j'ai du caractère Un sacré tempérament Qui ont valu à ma mère Du souci et des tourments C'est que je tiens de mon père La passion et l'engouement Qui font guincher les chaumières Et s'enlacer les amants Je suis la fille du vent Qui traverse les montagnes Pour violenter les passants Les villes et les campagnes Je me méfie des couvents Et des dieux portant le pagne Car je porte en mon sang Toutes les plaies de l'Espagne Si je suis entière Et que je vais de l'avant Sans écouter de mon père Les avertissements C'est que' comme ma mère J'ai reçu en naissant La lueur de l'éclair La force du vent Moi qui suis sa fille Je porte la folie Des belles de Castille Ou bien d'Andalousie Je tiens de ma famille Ce qu'aujourd'hui je suis Je pointe mes banderilles Face aux dangers de la vie Car j'ai du tempérament Ce foutu caractère Qui font dire à mon père Que je suis son cheveu blanc Que je suis son cheveu blanc