Quand je voyais les nuages Dessiner des ombres aux feuillages Je croyais que des coquillages Se promenaient au ciel Mais aujourd'hui je sais qu'ils n'ont Que neige et pluie dans leurs cotons Je les ai vus plus d'une fois S'amonceler sur moi
J'ai vu le soleil des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout
J'ai voulu laisser mon cœur Danser la danse du bonheur J'ai cru que l'amour était là Puisque tu étais là Mais aujourd'hui je sais qu'il faut Souvent quitter un lit trop chaud Et pourtant si tu revenais Tout recommencerait
J'ai vu l'amour des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout
J'ai eu de pauvres matins J'ai eu le monde au creux des mains J'ai vu des amis me parler Comme des étrangers Puis la sagesse est venue Remplacer les joies perdues Et d'autres joies sont arrivées Et j'ai tout oublié
J'ai vu la vie des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout
Je n'ai rien appris
Quand je voyais les nuages Dessiner des ombres aux feuillages Je croyais que des coquillages Se promenaient au ciel Mais aujourd'hui je sais qu'ils n'ont Que neige et pluie dans leurs cotons Je les ai vus plus d'une fois S'amonceler sur moi
J'ai vu le soleil des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout
J'ai voulu laisser mon cœur Danser la danse du bonheur J'ai cru que l'amour était là Puisque tu étais là Mais aujourd'hui je sais qu'il faut Souvent quitter un lit trop chaud Et pourtant si tu revenais Tout recommencerait
J'ai vu l'amour des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout
J'ai eu de pauvres matins J'ai eu le monde au creux des mains J'ai vu des amis me parler Comme des étrangers Puis la sagesse est venue Remplacer les joies perdues Et d'autres joies sont arrivées Et j'ai tout oublié
J'ai vu la vie des deux côtés Ses jours de gloire, de vérité Et c'est bien triste de penser Que je n'ai rien appris du tout