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Hyenas

Last Night专辑

  • 作曲 : Richard Hall
    Jadis, si je me souviens bien
    Ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs
    Où tous les vins coulaient
    Un soir, j'ai assis la
    Beauté sur mes genoux
    Et je l'ai trouvée amère
    Et je l'ai injuriée
    Je me suis armé contre la justice
    Je me suis enfuiÔ sorcières, ô misère, ô haine
    C'est à vous que mon trésor a été confié
    Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit
    Toute l'espérance humaine
    Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait
    Le bond sourd de la bête féroce
    J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant
    Mordre la crosse de leurs fusils
    J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable
    Avec le sang le malheur a été mon dieu
    Je me suis allongé dans la boue
    Je me suis séché à l'air du crime
    Et j'ai joué de bons tours à la folie
    Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot
    Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point
    De faire le dernier couac! j'ai songé à rechercher
    Le clef du festin ancien où je reprendrais peutêtre appétit
    La charité est cette clef
    Cette inspiration prouve que j'ai rêvé!"Tu resteras hyène, [unverified]"
    Se récrie le démon qui me couronna
    De si aimables pavots"Gagne la mort avec tous tes appétitsEt ton égoïsme et tous les péchés capitaux"¡
    Ah! j'en ai trop pris
    Mais, cher
    SatanJe vous en conjure, une prunelle moins irritée!
    Et en attendant les quelques petites lâchetés en retard
    Vous qui aimez dans l'écrivain l'absence
    Des facultés descriptives ou instructives
    Je vous détache des quelques hideux feuillets
    De mon carnet de damné
  • 作曲 : Richard Hall
    Jadis, si je me souviens bien
    Ma vie était un festin où s'ouvraient tous les coeurs
    Où tous les vins coulaient
    Un soir, j'ai assis la
    Beauté sur mes genoux
    Et je l'ai trouvée amère
    Et je l'ai injuriée
    Je me suis armé contre la justice
    Je me suis enfuiÔ sorcières, ô misère, ô haine
    C'est à vous que mon trésor a été confié
    Je parvins à faire s'évanouir dans mon esprit
    Toute l'espérance humaine
    Sur toute joie pour l'étrangler j'ai fait
    Le bond sourd de la bête féroce
    J'ai appelé les bourreaux pour, en périssant
    Mordre la crosse de leurs fusils
    J'ai appelé les fléaux, pour m'étouffer avec le sable
    Avec le sang le malheur a été mon dieu
    Je me suis allongé dans la boue
    Je me suis séché à l'air du crime
    Et j'ai joué de bons tours à la folie
    Et le printemps m'a apporté l'affreux rire de l'idiot
    Or, tout dernièrement, m'étant trouvé sur le point
    De faire le dernier couac! j'ai songé à rechercher
    Le clef du festin ancien où je reprendrais peutêtre appétit
    La charité est cette clef
    Cette inspiration prouve que j'ai rêvé!"Tu resteras hyène, [unverified]"
    Se récrie le démon qui me couronna
    De si aimables pavots"Gagne la mort avec tous tes appétitsEt ton égoïsme et tous les péchés capitaux"¡
    Ah! j'en ai trop pris
    Mais, cher
    SatanJe vous en conjure, une prunelle moins irritée!
    Et en attendant les quelques petites lâchetés en retard
    Vous qui aimez dans l'écrivain l'absence
    Des facultés descriptives ou instructives
    Je vous détache des quelques hideux feuillets
    De mon carnet de damné