当前位置:首页 > 歌词大全 > Le Limon歌词

Le Limon

les Années Sombres专辑

  • 作词 : Mano Solo
    作曲 : Mano Solo
    Quand la tempête s'arrête, Le limon coule au fond
    Là où jamais ne pénètre la moindre lumière, le moindre rayon
    Alors il se dépose une strate pour chaque chose
    Retapissant sans cesse de chaque nuit pour chaque oubli
    Il n'est rien que je puisse oublier
    Ni le goût de l'amer, ni le vent sucré
    Il n'est pas de fardeau que je ne puisse jeter
    Chaque soir, chaque matin renaissent mes deux poings.
    Debout, debout, sauve-toi de là
    Tu sais même pas ni où ni avec qui tu as dormi
    Debout meus ton corps dans le froid de la rue
    Une porte qui claque ça fait le même bruit
    Du bout du monde jusqu'à Paris
    Sur le pavé de la terre battue
    Du pays des hommes vaincus
    Et peut-être bien que la télé de sa lumière stroboscopique
    Viendra lécher ton corps étendu
    Dans l'illusion de se reposer debout sans domicile fixe
    Juste une idée fixe
    C'est où que demain je me réveille
    C'est où que demain je me mets debout.
    Il te reste des filles plein ton carnet d'adresse
    Y'en a bien une pour toi derrière sa porte
    L'oeil de bœuf en prothèse, sans bouger de chez elle
    Elle t'attend
    Lave-toi les dents
    Et lave-toi la queue
    Lave-toi les yeux
    Lave ton esprit des souillures de la vie
    Il y a bien une douche quelque part
    Où tu pourras quitter tes vêtements
    Ton armure contre la rue
    Et peut-être viendra-t-elle enfin
    Glisser ses doigts sur ta peau d'enfant
    Et peut-être même mettre ton ***e debout
    Et tout ton être avec, debout
  • 作词 : Mano Solo
    作曲 : Mano Solo
    Quand la tempête s'arrête, Le limon coule au fond
    Là où jamais ne pénètre la moindre lumière, le moindre rayon
    Alors il se dépose une strate pour chaque chose
    Retapissant sans cesse de chaque nuit pour chaque oubli
    Il n'est rien que je puisse oublier
    Ni le goût de l'amer, ni le vent sucré
    Il n'est pas de fardeau que je ne puisse jeter
    Chaque soir, chaque matin renaissent mes deux poings.
    Debout, debout, sauve-toi de là
    Tu sais même pas ni où ni avec qui tu as dormi
    Debout meus ton corps dans le froid de la rue
    Une porte qui claque ça fait le même bruit
    Du bout du monde jusqu'à Paris
    Sur le pavé de la terre battue
    Du pays des hommes vaincus
    Et peut-être bien que la télé de sa lumière stroboscopique
    Viendra lécher ton corps étendu
    Dans l'illusion de se reposer debout sans domicile fixe
    Juste une idée fixe
    C'est où que demain je me réveille
    C'est où que demain je me mets debout.
    Il te reste des filles plein ton carnet d'adresse
    Y'en a bien une pour toi derrière sa porte
    L'oeil de bœuf en prothèse, sans bouger de chez elle
    Elle t'attend
    Lave-toi les dents
    Et lave-toi la queue
    Lave-toi les yeux
    Lave ton esprit des souillures de la vie
    Il y a bien une douche quelque part
    Où tu pourras quitter tes vêtements
    Ton armure contre la rue
    Et peut-être viendra-t-elle enfin
    Glisser ses doigts sur ta peau d'enfant
    Et peut-être même mettre ton ***e debout
    Et tout ton être avec, debout