Quand je repense à nous J'ai le coeur qui flambe un peu Comme au temps de nous deux Tu étais fou Comme ceux qui jouent le coeur et leur amour Et qui gagnent toujours Nostalgie Comme une image de Visconti Quand Venise a le coeur gris Nostalgie Il pleut sur mes rêves Et aussi sur notre photographie Et tes baisers de nacre Etaient pour moi comme des sacres De printemps et de bonheur Mais dans tes yeux de Slave Je me suis vue comme une esclave Et je crois bien que j'ai eu peur Nostalgie Comme un violon de Vivaldi Quand la musique a le coeur gris Nostalgie Il pleut sur mes rêves Et aussi sur notre photographie Tu avais cette insolence Qui me faisait souvent violence Entre le rire et le mépris Tu avais l'air d'un roi Mais ton royaume c'était moi Je ne le comprends qu'aujourd'hui Nostalgie Aux yeux de Modigliani Quand la palette a leur coeur gris Nostalgie Il pleut sur mes rêves Et aussi sur notre photographie Et je sais aujourd'hui Que sa vie On peut la perdre aussi...
Quand je repense à nous J'ai le coeur qui flambe un peu Comme au temps de nous deux Tu étais fou Comme ceux qui jouent le coeur et leur amour Et qui gagnent toujours Nostalgie Comme une image de Visconti Quand Venise a le coeur gris Nostalgie Il pleut sur mes rêves Et aussi sur notre photographie Et tes baisers de nacre Etaient pour moi comme des sacres De printemps et de bonheur Mais dans tes yeux de Slave Je me suis vue comme une esclave Et je crois bien que j'ai eu peur Nostalgie Comme un violon de Vivaldi Quand la musique a le coeur gris Nostalgie Il pleut sur mes rêves Et aussi sur notre photographie Tu avais cette insolence Qui me faisait souvent violence Entre le rire et le mépris Tu avais l'air d'un roi Mais ton royaume c'était moi Je ne le comprends qu'aujourd'hui Nostalgie Aux yeux de Modigliani Quand la palette a leur coeur gris Nostalgie Il pleut sur mes rêves Et aussi sur notre photographie Et je sais aujourd'hui Que sa vie On peut la perdre aussi...