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Contre-Jour

Le Danger专辑

  • Le soleil en contre-jour
    Ça et là quelques contours
    Quelques ombres floues... noir et or...
    L'odeur sucrée des glycines
    La douceur que l'on devine
    Menaçante comme l'eau qui dort...
    Il lui disait dans un souffle
    Qu'il voulait ce qu'elle voulait:
    Elle le voulait plus près d'elle...
    Il lui disait dans un souffle
    Gentiment, comme à regret
    Qu'il ne fallait pas qu'elle l'aime...
    Un murmure, à peine un souffle
    Pour éteindre le feu qui naît
    Ou pour incendier les veines...
    Dans la bouche un goût de cendre
    Combien d'années à attendre
    Que les souvenirs s'évaporent...
    Combien d'années de mort lente
    Pour qui remonter la pente
    Esclave en son âme, en son corps?
    Il lui disait dans un souffle
    De ne pas l'abandonner
    De le garder sous son aile...
    Elle répondait dans un souffle
    Les toujours et les jamais
    De la passion qui déferle...
    Quelquefois les hommes qui souffrent
    Préfèrent les lieux tempérés
    Les tons gris ou bleu pastel...
    Comme ces fleurs bardées d'épines
    Sa douceur est assassine
    Éloignez de vous l'eau qui dort...
    Quand arrive la fin du jour
    Regrette-t-il les amours
    Aux couleurs de feu, noir et or?
  • Le soleil en contre-jour
    Ça et là quelques contours
    Quelques ombres floues... noir et or...
    L'odeur sucrée des glycines
    La douceur que l'on devine
    Menaçante comme l'eau qui dort...
    Il lui disait dans un souffle
    Qu'il voulait ce qu'elle voulait:
    Elle le voulait plus près d'elle...
    Il lui disait dans un souffle
    Gentiment, comme à regret
    Qu'il ne fallait pas qu'elle l'aime...
    Un murmure, à peine un souffle
    Pour éteindre le feu qui naît
    Ou pour incendier les veines...
    Dans la bouche un goût de cendre
    Combien d'années à attendre
    Que les souvenirs s'évaporent...
    Combien d'années de mort lente
    Pour qui remonter la pente
    Esclave en son âme, en son corps?
    Il lui disait dans un souffle
    De ne pas l'abandonner
    De le garder sous son aile...
    Elle répondait dans un souffle
    Les toujours et les jamais
    De la passion qui déferle...
    Quelquefois les hommes qui souffrent
    Préfèrent les lieux tempérés
    Les tons gris ou bleu pastel...
    Comme ces fleurs bardées d'épines
    Sa douceur est assassine
    Éloignez de vous l'eau qui dort...
    Quand arrive la fin du jour
    Regrette-t-il les amours
    Aux couleurs de feu, noir et or?