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  • 作词 : Benjamin Piette
    作曲 : Benjamin Piette
    On se sent moins sain que sauf
    Sur cette bouée empruntée
    Au milieu d'une mer calme
    Où les requins sont si riches qu'ils paient des pêcheurs pour manger
    Où le sel est seul pour panser nos plaies

    On a beau avoir construit le plus beau des bateaux
    Le temps laisse son empreinte sur le vieux bois jauni
    On aura bu et puis fêté, appris et puis désappris
    Mais ces questions rongeront le fond de notre cale avant de couler...

    Y resterait qui sur le quai pour nous dire adieu?
    Si on a déjà tout vendu même notre dieu?

    On a des regards crus de sang
    Un vent de désespoir plein les voiles
    Mais on a quitté depuis bien que trop longtemps

    Nos critères de survie sont empruntés à des films américains
    Où l'amour triomphe même des plus divorcés
    Est-ce que c'était comme ça dans le bon vieux temps?
    Sommes-nous plus ou moins naïfs que nos parents?
    Se contentions-nous de nos petits bateaux?
    Oh, je sais la mort embellirait même le plus grugé des rafiots

    Chaque île est emplie de gloire et de promesses
    Mais on oublie trop souvent les marques que les prouesses laissent
    Nos gorges s'érodent et laissent place aux matins
    Et si beaucoup de choses changent en chemin
    On vit pour l'Horizon, et elle chante toujours la même chanson

    Y resterait qui sur le quai pour nous dire adieu?
    Si on a déjà tout vendu même notre dieu?
    Si le temps nous faisait un peu de promesses
    Serions-nous plus libres, plus heureux?
    Chaque quai vide nous rappelle nos derniers adieux
    Y resterait qui sur le quai?

    Sûrement pas Dieu.

  • 作词 : Benjamin Piette
    作曲 : Benjamin Piette
    On se sent moins sain que sauf
    Sur cette bouée empruntée
    Au milieu d'une mer calme
    Où les requins sont si riches qu'ils paient des pêcheurs pour manger
    Où le sel est seul pour panser nos plaies

    On a beau avoir construit le plus beau des bateaux
    Le temps laisse son empreinte sur le vieux bois jauni
    On aura bu et puis fêté, appris et puis désappris
    Mais ces questions rongeront le fond de notre cale avant de couler...

    Y resterait qui sur le quai pour nous dire adieu?
    Si on a déjà tout vendu même notre dieu?

    On a des regards crus de sang
    Un vent de désespoir plein les voiles
    Mais on a quitté depuis bien que trop longtemps

    Nos critères de survie sont empruntés à des films américains
    Où l'amour triomphe même des plus divorcés
    Est-ce que c'était comme ça dans le bon vieux temps?
    Sommes-nous plus ou moins naïfs que nos parents?
    Se contentions-nous de nos petits bateaux?
    Oh, je sais la mort embellirait même le plus grugé des rafiots

    Chaque île est emplie de gloire et de promesses
    Mais on oublie trop souvent les marques que les prouesses laissent
    Nos gorges s'érodent et laissent place aux matins
    Et si beaucoup de choses changent en chemin
    On vit pour l'Horizon, et elle chante toujours la même chanson

    Y resterait qui sur le quai pour nous dire adieu?
    Si on a déjà tout vendu même notre dieu?
    Si le temps nous faisait un peu de promesses
    Serions-nous plus libres, plus heureux?
    Chaque quai vide nous rappelle nos derniers adieux
    Y resterait qui sur le quai?

    Sûrement pas Dieu.