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  • 作词 : Élodie Frégé
    作曲 : Élodie Frégé
    Je garde
    En brume au seuil des cils
    Un peu de l´ombre qui déborde
    De nos coeurs
    J´égare
    Au bout de nos sentiers
    Cailloux et fleurs qui ne seront
    Plus jetés
    J´efface
    De ma bouche l´ébauche
    Du sourire dont il ne cherchait
    Pas l´esquisse
    Je fronce
    Un bâillon sur mes lèvres
    D´où ne s´élève plus que l´air
    De notre ennui
    Son regard, je l´évite
    Je m´enfouis dans ses manches
    Où je m´égare, je l´évite
    Quand je hais nos dimanches
    Fous de rien...
    Je laisse
    Ma peau se déparer
    Du souffle dont tes doigts savaient
    Bien m´habiller
    Je blesse mes pas posés à vide
    Il n´y a plus d´éclats de nous
    Pour s´abîmer...
    Son regard, je l´évite
    Je m´enfouis dans ses manches
    Où je m´égare, je l´évite
    Quand je hais nos dimanches
    Fous de rien...
    S´il s´en faut de rien
    Pour souffler sur un automne
    On se suffira bien
    Pour détisser le monotone...
    Ses regards, je lui vole
    Je m´enfouis dans ses manches
    Où il me garde et m´envole
    Au-dessus des dimanches
    Fous de bien...
    A perte de vie...
  • 作词 : Élodie Frégé
    作曲 : Élodie Frégé
    Je garde
    En brume au seuil des cils
    Un peu de l´ombre qui déborde
    De nos coeurs
    J´égare
    Au bout de nos sentiers
    Cailloux et fleurs qui ne seront
    Plus jetés
    J´efface
    De ma bouche l´ébauche
    Du sourire dont il ne cherchait
    Pas l´esquisse
    Je fronce
    Un bâillon sur mes lèvres
    D´où ne s´élève plus que l´air
    De notre ennui
    Son regard, je l´évite
    Je m´enfouis dans ses manches
    Où je m´égare, je l´évite
    Quand je hais nos dimanches
    Fous de rien...
    Je laisse
    Ma peau se déparer
    Du souffle dont tes doigts savaient
    Bien m´habiller
    Je blesse mes pas posés à vide
    Il n´y a plus d´éclats de nous
    Pour s´abîmer...
    Son regard, je l´évite
    Je m´enfouis dans ses manches
    Où je m´égare, je l´évite
    Quand je hais nos dimanches
    Fous de rien...
    S´il s´en faut de rien
    Pour souffler sur un automne
    On se suffira bien
    Pour détisser le monotone...
    Ses regards, je lui vole
    Je m´enfouis dans ses manches
    Où il me garde et m´envole
    Au-dessus des dimanches
    Fous de bien...
    A perte de vie...