当前位置:首页 > 歌词大全 > Et S'il Fallait Le Faire (Version Eurovision)歌词
  • S’il fallait le faire, j’arrêterais la terre
    J’éteindrais la lumière, que tu restes endormi
    S’il fallait pour te plaire lever des vents contraires
    Dans un désert sans vie, je trouverais la mer
    Et s’il fallait le faire, j’arrêterais la pluie
    Elle fera demi-tour le reste de nos vies
    S’il fallait pour te plaire t’écouter chaque nuit
    Quand tu parles d’amour, j’en parlerais aussi
    Que tu regardes encore dans le fond de mes yeux
    Que tu y vois encore le plus grand des grands feux
    Et que ta main se colle sur ma peau, où elle veut
    Un jour si tu t’envoles, je suivrais, si je peux
    Et s’il fallait le faire, je repousserais l’hiver
    A grands coups de printemps et de longs matins clairs
    S’il fallait pour te plaire, j’arrêterais le temps
    Que tous tes mots d’hier restent à moi maintenant
    Que je regarde encore dans le bleu de tes yeux
    Que tes deux mains encore se perdent dans mes cheveux
    Je ferai tout plus grand et si c’est trop ou peu
    J’aurais tort tout le temps, si c’est ça que tu veux
    Je veux bien tout donner, si seul’ment tu y crois
    Mon cœur veut bien saigner, si seul’ment tu le vois
    Jusqu’à n’être plus rien que l’ombre de tes nuits
    Jusqu’à n’être plus rien qu’une ombre qui te suit
    Et s’il fallait le faire
  • S’il fallait le faire, j’arrêterais la terre
    J’éteindrais la lumière, que tu restes endormi
    S’il fallait pour te plaire lever des vents contraires
    Dans un désert sans vie, je trouverais la mer
    Et s’il fallait le faire, j’arrêterais la pluie
    Elle fera demi-tour le reste de nos vies
    S’il fallait pour te plaire t’écouter chaque nuit
    Quand tu parles d’amour, j’en parlerais aussi
    Que tu regardes encore dans le fond de mes yeux
    Que tu y vois encore le plus grand des grands feux
    Et que ta main se colle sur ma peau, où elle veut
    Un jour si tu t’envoles, je suivrais, si je peux
    Et s’il fallait le faire, je repousserais l’hiver
    A grands coups de printemps et de longs matins clairs
    S’il fallait pour te plaire, j’arrêterais le temps
    Que tous tes mots d’hier restent à moi maintenant
    Que je regarde encore dans le bleu de tes yeux
    Que tes deux mains encore se perdent dans mes cheveux
    Je ferai tout plus grand et si c’est trop ou peu
    J’aurais tort tout le temps, si c’est ça que tu veux
    Je veux bien tout donner, si seul’ment tu y crois
    Mon cœur veut bien saigner, si seul’ment tu le vois
    Jusqu’à n’être plus rien que l’ombre de tes nuits
    Jusqu’à n’être plus rien qu’une ombre qui te suit
    Et s’il fallait le faire